La maire écologiste de la 2ème ville de France Michèle Rubirola a présenté sa démission « pour des raisons de santé », à peine plus de 5 mois après son éléction sous une étiquette d’union de la gauche.
Une annonce qui a laissé des habitants médusés, même si la rumeur anflait depuis plusieurs semaines dans le milieu de la politique marseillaise.
Alors que son 1er adjoint, le socialiste Benoît Payan a été élu maire par le conseil municipal, l’opposition fustige des « tambouilles », argant que tout était manigancé depuis le début. Ce dernier était en effet dès le début en bonne place pour succéder à Michèle Rubirola sur le fauteuil d’édile. En témoignerait selon eux le portefeuille très élargi dont il avait hérité depuis l’élection, en juillet dernier.
Une première victoire, acquise sans majorité absolue au conseil, au terme de longs concilliabules avec les collisitiers, et qui avait permis à la gauche de mettre fin à 25 années de règne de la droite dans la Cité Phocéenne.
